• 25 août 2022
  • Alain Philippe Baudry Knops
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Elle a traversé le temps et les époques, résisté aux tendances et aux modes et est devenue la référence absolue. Son histoire est née il y a de cela plus d’un siècle et demi.
En 1858, une ordonnance militaire en fixe les contours et les caractéristiques.
C’est l’uniforme officiel choisi pour habiller alors les «gars de la marine».
Pourquoi avoir conçu ce type de vêtement si singulier, reconnaissable entre tous à ses traditionnelles rayures (au nombre de 21 pour les blanches, larges de 20 mm, et de 20 à 21 pour les bleues, larges de 10 mm) ?
On raconte que les rayures auraient été choisies pour repérer plus facilement un homme tombé à la mer. On dit aussi que le nombre de rayures fut déterminé en référence aux 21 victoires napoléoniennes sur les champs de bataille…

Pour les couleurs, la teinture indigo représentant un coût élevé, l’alternance de blanc et de bleu aurait finalement été retenue par souci d’économie. Autre hypothèse avancée : le bleu aurait été introduit dans les rayures parce que moins salissant que le blanc!

Modèle : Ludwig Santiago

LE SECRET DE LA VÉRITABLE MARINIÈRE SAINT JAMES

C’est un travail d’expert, une question de doigté, de précision et d’attention. Le geste est assuré, le contrôle constant.
Une marinière nécessite 104 fleurs de coton, 4,4 kilomètres de fil et un process de confection qui s’étale sur cinq jours de travail minimum. Onze étapes de fabrication sont nécessaires jusqu’à l’expédition du vêtement.
Le Naval pèse son poids dans l’histoire des Tricots SAINT JAMES : 315 grammes pour chaque modèle, c’est l’icône de la marque, le symbole de la «French Touch», universel et intemporel.

Il faut observer les couturières travaillant avec soin à la confection. C’est du grand art, une technique parfaitement rodée nécessitant une attention de chaque instant.
La fabrication d’une marinière emprunte à chaque fois le même parcours selon un savoir-faire parfaitement maîtrisé : découpe des panneaux de coton, assemblage, piquetage, surjet, recouvrement, pose des étiquettes et du logo. Vient ensuite l’indispensable et rigoureux contrôle qualité, avant de procéder au repassage.
Au doigt et à l’œil, la marinière née de la mer et d’une extrême attention!

COCORICO !

ENTREPRISE DU PATRIMOINE VIVANT

UNE RECONNAISSANCE OFFICIELLE

Depuis 2012, les Tricots SAINT JAMES sont labellisés «Entreprise du Patrimoine Vivant». Une distinction en même temps qu’une vraie reconnaissance d’un savoir- faire ancré au territoire, fruit d’un héritage vieux de plus d’un siècle et demi. SAINT JAMES, c’est l’histoire de la mode sans cesse revisitée, réinventée, un patrimoine qui fait vivre le passé en inventant l’avenir… Luc Lesénécal, Président, le dit avec force. «Notre ADN n’a pas changé depuis les origines : l’essentiel dans ce que nous faisons et dans ce qui sort de nos ateliers est de ne rien renier de ce que nous sommes et de ne transiger en rien sur la qualité.» Le sigle EPV – Entreprise du Patrimoine Vivant – colle à la peau des Tricots SAINT JAMES.
C’est notre histoire et notre raison d’être. «E» comme entreprise, cette entité où l’on prend des risques, où on les maîtrise, où on crée de la valeur, où on contribue à la vie nationale et au développement des liens sociaux et des territoires. «P» comme patrimoine : il s’agit de savoir- faire, d’authenticité, de qualité. Et «V» comme vivant, car nous allons toujours de l’avant.
Le label Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV) est une marque de reconnaissance de l’État mise en place pour distinguer des entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux et industriels d’excellence.
Chez SAINT JAMES, la distinction couronne notamment le travail effectué en interne pour former aux techniques parfois complexes du tricotage, du raccoutrage et du remaillage, entre autres.
Le label, décerné en 2012, a été renouvelé en 2019 pour une durée de cinq ans.

Les couturières aux doigts de fées

DES RAYURES POUR SIGNATURE

Comment dit-on «rayé» en français, en anglais, en japonais, en espagnol, en allemand, en mandarin ? Comment dit- on dans toutes les langues du monde?

On dit… SAINT JAMES. La rayure comme emblème, l’étendard d’une marque dont la signature est ainsi faite, reconnue pour la qualité de ses confections et la beauté de ses modèles, chics, élégants et simples.
Des collections authentiques parce qu’elles sont le fruit d’un véritable savoir-faire humain, héritage d’un patrimoine vivant et ancestral.
La rayure de la fameuse marinière déclinée en de multiples versions iconiques, c’est l’ADN de l’entreprise, sa marque de fabrique. On reconnaît le tricot du matelot, l’ancêtre du chandail, et la marinière, à leurs rayures sur le corps et jusque sur les manches. Bleu, blanc, rouge… et d’autres couleurs. C’est signé, c’est un SAINT JAMES, un vrai !
La rayure n’a plus la symbolique négative qu’elle avait autrefois. C’est même tout le contraire : synonyme de liberté, d’aventure, alliant modernité et authenticité, adoptée par les créateurs et les stylistes, elle traverse les modes et les époques. La rayure SAINT JAMES est un trait de génie, un signe distinctif au parfum d’iode qui ne trompe pas.
Cela s’écrit comme cela se prononce, dans toutes les langues.
Détail important dans la signature, le pas de rayure SAINT JAMES est de 16mm/8mm.

LE SITE : Saint James

Instagram modèle : Ludwig Santiago

Alain Philippe Baudry Knops

Voyage, Mode, Beauté, Lifestyle, High-tech, etc

http://www.homactu.com

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