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Aujourd’hui, c’est le départ du Tour de France à Copenhague, un des sports les plus suivis en France et dans le monde entier.

Les cols mythiques de l’histoire du cyclisme

Avec ses 30 kilomètres d’ascension, le col du Galibier fait partie des plus hauts cols routiers des Alpes. Pour les coureurs cyclistes, il est devenu mythique depuis 1911, année de sa première ascension en course durant laquelle un seul coureur a atteint le sommet sans poser pied à terre.
Le Mont Ventoux, appelé quant à lui « le Géant de Provence », est devenu le juge de paix de nombreuses courses à étapes depuis 1951. Avec 21 kilomètres d’ascension et plus de 1600 mètres de dénivelé, il a été le théâtre d’exploits devenus légendaires accomplis par les plus grands coureurs de l’histoire.
Le col du Tourmalet fait partie intégrante de la « légende du Tour » depuis qu’il est emprunté pour la première fois en 1910. Cette année-là, Octave Lapize le franchit en tête et lance aux organisateurs : « vous êtes des assassins ! ». Col le plus souvent franchi par la course, il a forgé de nombreuses légendes comme celle d’Eugène Christophe, qui, en 1913, brisa sa fourche au début de la descente du col et marcha pendant quatorze kilomètres avant de pouvoir la réparer dans la forge du village.

En clin d’œil à l’histoire de ces cols, chaque produit souligne l’année à laquelle ils ont été empruntés pour la première fois par les coureurs.

« Poupou », icône de tout un pays

Icône incroyablement populaire dont la légende dit à tort qu’il ne gagnait jamais, « Poupou » a conquis le cœur des français par sa force tranquille, sa modestie sincère et sa bonhomie qui lui permettait d’accueillir les défaites avec élégance.
Issu d’une famille de paysans, « Poupou », était le symbole d’une France de province attachée à sa terre et d’une nation qui ne gagnait jamais et se reconnaissait dans cet homme dur au mal et courageux. C’est du dur labeur à la ferme durant son adolescence qu’il puisa la force qui a fait de lui cet immense champion. Malgré 189 victoires, critériums compris, il a conservé ce surnom « d’éternel second », n’ayant jamais pu remporter la plus légendaire des courses cyclistes, ni même le maillot de leader. A travers des produits intitulés « Poupou » mais aussi « Raymond », Sports d’Epoque rend hommage au cycliste le plus attachant de l’histoire, mais aussi à l’homme de valeurs.

Eugène Christophe alias « Le Vieux Gaulois »

Surnommé « Le Vieux Gaulois » en clin d’oeil aux longues moustaches qu’il arborait au début de sa carrière, Eugène Christophe est tout aussi connu pour son immense courage que pour la malédiction qui forgea sa légende. Et pour cause : il cassa 3 fois sa fourche durant sa carrière de coureur cycliste ! Premier coureur de l’histoire à endosser le maillot de leader du classement général en 1919, il casse sa fourche à deux étapes de l’arrivée alors que la victoire lui semble promise. Le règlement obligeant les coureurs à réparer seuls les fourches cassées, il abandonne alors tout espoir de remporter le Saint Graal.

Avec des produits aux graphismes simples et contemporains et un surnom qui fait sourire, Sports d’Epoque illustre de la plus originale des façons le parcours rocambolesque du coureur le plus malchanceux de l’histoire.

« La tête dans le guidon »

De nombreuses expressions de la vie quotidienne sont issues du jargon de l’univers du sport. La formule “ avoir la tête dans le guidon” en est l’une des plus belles illustrations. Désormais utilisée dans le langage courant, cette métaphore vient du monde du cyclisme. Née dans l’ascension de cols de massifs montagneux, elle symbolise le coureur en plein effort, courbé sur son vélo, concentré sur le moment présent et incapable de voir loin devant lui. Au sens figuré, elle décrit une personne débordée, incapable de prendre du recul ou de la hauteur par rapport à la situation dans laquelle elle se trouve.

En arborant un produit “la tête dans le guidon”, vous assumerez avec légèreté et auto-dérision votre vie accaparante et trépidante !

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BON TOUR DE FRANCE