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NEW YORK, la fascination! Part 1

New York, une ville que l’on connait Ă  travers toute la filmographie, ou les nombreux tĂ©lĂ©films qui s’y dĂ©roulent.
Alors, la première fois que l’on s’y rend, on prend assez facilement ses repères. Mais, on est fascinĂ© par la hauteur des gratte-ciels. Et on marche dans les rues la tĂŞte en l’air.

New York soit on l’aime, soit on la dĂ©teste.
Je suis tombĂ© tout de suite amoureux de cette ville, Ă  tel point, que c’est le lieu au monde oĂą je me sens le mieux.

J’y suis allĂ© en Novembre 1996, et nous avions trouvĂ© un hĂ´tel 25ème rue ouest, Ă  100 mètres de Madison Square et du building que je prĂ©fère, le Flatiron.

The Flatiron
The Flatiron

Il faisait froid, mais, c’Ă©tait bien. L’ami avec qui j’y suis allĂ©, s’y Ă©tait rendu en avril et avait envie que je dĂ©couvre cette ville Ă  mon tour.
Un des avantages est que les 6 heures de dĂ©calage Ă  l’aller font que la journĂ©e est plus longue.

Après avoir dĂ©posĂ© nos bagages Ă  l’hĂ´tel, nous sommes partis arpenter la ville.
La 5ème avenue était juste là, Madison Square est une des places où Broadway et la 5éme avenue se croisent.

Broadway est un ancien chemin indien, son parcours sillonne la ville, sans respecter le quadrillage créé par les premiers colons hollandais.

La 5ème avenue est le repère, elle divise la ville en 2 zones: est et ouest.

Quand on vous dit que le lieu oĂą vous vous rendez se trouve sur la 55ème rue est, vous savez que vous ĂŞtes Ă  l’est de la 5Ă©me avenue. Une fois que l’on a assimilĂ© ça, il est facile de se diriger.

De Madison Square, sur la gauche, l’Empire State Building dominait tous les immeubles environnants, majestueux!

Nous Ă©tions en fin d’après-midi, nous rendant vers Times Square, et devant nous, un petit immeuble, un pub irlandais, le O’Reilly’s.

NYC

Nous y sommes entrĂ©s, avons commandĂ© une bière, un homme d’un certain âge, nous a dĂ©signĂ© au fond du bar un buffet oĂą nous avons pu nous servir de boulettes de viande. Celles-ci offert par la maison, nous avons discutĂ© avec lui, il nous a remis sa carte de visite. Il Ă©tait avocat. De retour Ă  Paris, je lui ai envoyĂ© une carte postale, mais je n’ai jamais reçu de rĂ©ponse.

Times Square
Times Square

Puis, nous sommes allés à Times Square, je me suis de suite senti en terrain connu.
La nuit Ă©tait tombĂ©e, tous les nĂ©ons, les Ă©crans illuminaient la place, une foule immense, bon enfant, pas la foule que l’on croise sur les Champs ElysĂ©es. J’ai omis d’en parler, des taxis, plein de taxis jaunes, partout. Les fameux Yellow Cab!

Faire une photo dans New York au niveau de la chaussĂ©e sans qu’il y ait un taxi est quasiment impossible, ou un dimanche matin aux environs de 7h30/8h00.

Yellow Cab
Yellow Cab

J’en ai pris plein les yeux. Fait des photos avec mon Leica M6, le numĂ©rique n’existait pas, une très bonne chose dans un sens.
Nous sommes rentrĂ©s Ă  l’hĂ´tel, la tĂŞte emplit de plein de choses.

Je savais que ma vie avait changée, il y avait: un avant et un après New York.