» Theodore « Theo » Decker n’a que 13 ans quand sa mère est tuée dans une explosion au Metropolitan Museum of Art. Cette tragédie va bouleverser sa vie : passant de la détresse à la culpabilité, il se reconstruit peu à peu et découvre même l’amour. Tout au long de son périple vers l’âge adulte, il conserve précieusement une relique de ce jour funeste qui lui permet de ne pas perdre espoir : un tableau d’un minuscule oiseau enchaîné à son perchoir. Le Chardonneret «
Dans le Nevada, il va faire la connaissance de Boris (Aneurin Barnard), il va découvrir la drogue, puis quand la vie devient trop dure avec son père, il a retourner seul à New York et se rendre chez Hobie qui va l’accueillir.
Theo va retrouver par hasard Boris. Lors de l’explosion, l’homme qui lui a remis la bague, lui a dit de prendre un tableau qui était devant lui au sol. Le tableau que sa mère préférait appelé » Le chardonneret ». Il va le cacher. Mais ce tableau va lui échapper, sans qu’il s’en aperçoive.
« Le chardonneret » est un film surprenant, un scénario comme on aimerait en voir plus souvent. On est tellement pris par le film que l’on ne se rend pas compte de sa durée : 2h30. On est tenu en haleine.
Ansel Elgort qui interprète Theo adulte est étonnant, tout comme Oakes Fegley ( Theo, enfant).
Si vous voulez voir un des plus beaux films de cette année, allez le voir.
Sortie en salle le : 18 septembre 2019