Aujourd’hui sort sur les écrans du net le nouveau clip de Jean Paul Gaultier.
Il y a 15 ans, un baiser resté dans les annales les réunissait pour la première fois à l’écran.
Depuis, « Classique » et « Le Male » incarnent les amants terribles de la parfumerie.
Au rythme de la « Casta Diva », extraite de la Norma de Bellini, ils s’aiment, se désirent, se quittent et se retrouvent. Héros d’une saga publicitaire devenue culte, la belle et son marin ont joué tous les registres : double jeu, transgressions, passion, séparations.
« On The Docks » (« Sur les Quais »), nouvel opus de la saga, met en scène leur désir mutuel porté à son apogée, sous un angle inédit : celui de l’épopée. Des entrailles du cargo à l’appartement-boudoir, les séquences haletantes du nouveau film content la montée de leur désir et appellent l’exploit.
https://www.youtube.com/watch?v=FEzM9TCzNFU
Une épopée romanesque
Signé par le réalisateur anglais Johnny Green*, « Sur les Quais » capture l’appel des corps.
« Classique », charnelle femme au corset, sirène contemporaine, attire Le marin « Le Male » dans ses filets. Comme envoûté par l’appel de sa belle, Ulysse des temps modernes, le héros à la marinière relève alors tous les défis, surmonte tous les obstacles pour retrouver l’objet de son désir. Rien ne l’arrêtera, ni la mer, ni la terre, ni même leurs différences. Avec son bateau, il fend le bitume et pénètre la ville en emportant tout sur son passage. Comme aimanté, le marin court sur le pont vers sa belle en corset qui l’attend à son balcon. Maîtresse de son pouvoir, elle le cueille à la proue pour l’amener à sa bouche.
« Classique » et « Le Male », des parfums prédestinés au désir
Ces deux-là sont faits l’un pour l’autre : deux corps qui se répondent, deux aimants qui s’attirent, les pièces d’un puzzle qui s’imbriquent.
Dans son flacon corps aux formes presque indécentes : pectoraux, fessiers et abdos d’acier, belle carrure, marinière et corps de rêve, « Le Male » est sexy à se damner. Il est LE marin, celui qui attise les fantasmes les plus fous, suscitant un imaginaire sulfureux…
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