ETUDES
Ça ne fait rien.
L’ennui tranquille du quotidien produit son propre cinéma doux. C’est entre un temps intermédiaire
qu’Études considère pour l’automne hiver 2017-18, traversant des histoires nationales de proximité et d’intimes
connexion.
Ce matin, après la nuit dernière. Couche avec la palette de terre de Elizabeth Peyton.
Des portraits séminaires, la collection réfléchit sur les cycles et les ablutions dans la vie quotidienne d’une ville.

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Les notions de grunge élevé ponctuent la garde-robe richement texturée de la saison, comme des réflexions sur le grand.
Pour l’intérieur l’ambiance salon de la confection louche, des vêtements de dessus rembourrés et peignoir châle manteaux.
Les textiles imitent les tissus d’ameublement, les couvertures et la literie, à partir de rayures nubby et de jacquards de papier peint en laine sèche.
Du coton matelassé vers le bas, le daim crème, la laine de contrôle de vitre et le satin de pyjama. Dans une palette moody d’aubergine, tabac, châtaignier noir, sarcelle d’hiver, rouille et bouteille verte à travers l’or écarlate et brillant,
La silhouette tombe en volumes généreux de l’épaule et large autour de la jambe, un effet souligné.
Par le long shirting, les formes de workwear carrées, et le pantalon large de patin. Travail à la main abonde en frangé.

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Tricots en crochet et angora et matelassé indien. Ceintures bicolores biseautées cuir doré.
Et le serpent d’eau, et les bijoux industriels de chaîne sont enfilés avec des clés de ménage.
La saison automne hiver 2017-18 comprend une trilogie de partenariats artistiques, chacun complétant la
Thème de la collection sous une autre perspective. Courtoisie de l’artiste américain Matthew Chambers,
Un motif floral tacheté sombre est redimensionné vers le haut et vers le bas: imprimé et tricoté, il réapparaît partout dans la collection.
Ailleurs, une gouache morte de 1992 illustrant les cigarettes et Coca Cola par Dike Blair est imprimé sur des chemises de soie et un blouson rembourré, incarnant un sentiment de familiarité familiale. Finalement,
Les auto-réalisations du premier film de Gus Van Sant ‘Mala Noche’ (1985) se répètent sur un seul souvenir
Sweatshirt, apportant le cycle complet de la saison de la langue.

Crédit photos : Etudes Studio

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