« Kat Connors a 17 ans lorsque sa mère disparaît sans laisser de trace. Alors qu’elle découvre au même moment sa sexualité, Kat semble à peine troublée par cette absence et ne paraît pas en vouloir à son père, un homme effacé. Mais peu à peu, ses nuits peuplées de rêves vont l’affecter profondément et l’amener à s’interroger sur elle-même et sur les raisons véritables de la disparition de sa mère… »
Kate a souvent des rêves récurrents, dans un univers blanc où elle pense voir ou entendre sa mère!
Ces rêves la pertubent, et en parle à son psy.
Les rapports avec son père ne sont pas simples, mais elle comprend très bien qu’il puisse après une si longue absence s’éprendre d’une autre femme.
C’est un film intéressant, la disparition d’un être aimé, surtout quand on ne sait pas ce qu’elle est devenue, laisse un grand vide difficle à combler, et pose de nombreuses questions! Mais Gregg Araki, par sa mise en scène, sa direction d’acteurs, la musique, la beauté des images nous tient en halène. C’est souvent drôle, et aussi très émouvant.
Après Kaboom, Mystérious Skin, The Doom Generation, Gregg Araki continue son parcours au coeur de l’adolescence!