» Pour un journaliste débutant, Gareth Jones ne manque pas de culot. Après avoir décroché une interview d’Hitler qui vient tout juste d’accéder au pouvoir, il débarque en 1933 à Moscou, afin d’interviewer Staline sur le fameux miracle soviétique. A son arrivée, il déchante : anesthésiés par la propagande, ses contacts occidentaux se dérobent, il se retrouve surveillé jour et nuit, et son principal intermédiaire disparaît. Une source le convainc alors de s’intéresser à l’Ukraine. Parvenant à fuir, il saute dans un train, en route vers une vérité inimaginable… «
Gareth Jones est pigiste, il a réussi à interviewer Hitler en 1933, il voudrait en faire autant avec Staline, dont on dit à Londres que l’URSS est prospère. Il a des appuis hauts placés au gouvernement.
Il va réussir à obtenir son visa pour aller à Moscou, pour une semaine, dès son arrivée il est pris en charge. Mais il n’a droit qu’à deux nuit à l’hôtel Métropole.
Il va faire la connaissance d’Ada Brooks, journaliste qui va l’aider.
En se rendant en Ukraine qu’on défini comme « L’or de Moscou » il va se rendre compte de la grande pauvreté et la famine dans laquelle vivent les habitants.
Il va être arrété, renvoyé à Moscou, puis à Londres où il va rencontrer George Orwell.
Il va raconter la vérité de ce qu’il a vu, à Moscou, il avait rencontré, Walter Durandy qui a eu le prix Pulitzer.
Walter Durandy dans le New York Times, alors qu’il est au courant de ce qui se passe en Ukraine, va le contredire et affirmer que Gareth ment.
C’est un très bon film, avec de très bons acteurs qui montrent le poids de la presse quand celle-ci est muselée et ne dit pas la vérité.
Une très belle surprise pour la réouverture des salles de cinéma. A voir.
Sortie en salle le : 22 juin 2020