C’est au galop que nous arrivons dans « la galerie particulière » du IIIème arrondissement pour assister à la présentation de la maison Gustavolins.
C’est sous le signe de la trinité que nous avons dégusté les créations de Gustavo, en effet seul trois mannequins ont été employés au port de la collection.
En fond nous avions droit à des portions de corps fait de ce qui devait être du papier mâché. Début d’une musique qui, il faut sincèrement l’admettre n’était pas très agréable car trop répétitive ou peut être trop moderne et conceptuelle pour moi mais le plus important reste la présentation.
On commence donc avec des ensembles munis de vestes d’un vert très flash, un principe simple : le mannequin s’avance, retire sa veste et l’accroche à un des fragments de mannequins pendu à l’arrière. La lumière du vert finit par laisser place à des variantes décontractées dans les bleus et l’ocre pour finalement reprendre un peu plus de tenue avec des smoking très élégants aux coupes innovantes.