Inspiré par Guynemer, Mermoz ou Saint-Exupéry, il s’approprie les blousons emblématiques de la Maison CHAPAL avec élégance et sensibilité.
Contrairement à la maire écologiste de Poitiers qui trouve qu’il ne faut plus rêver avec l’aviation, nous pensons qu’il faut continuer de rêver…
À l’image des pilotes qui ont porté ces modèles, les blousons fabriqués par la Maison CHAPAL sont réputés pour leur masculinité.
Son histoire au service de l’aviation explique sa légitimité. La Veste 1914, symbole de l’aviateur, a été fabriquée pour la première fois dans la Manufacture de Crocq (23) en 1916 pour participer à l’effort de guerre.
L’excellence à la française de la Maison s’affirme dans une fabrication artisanale et académique. Elle s’exerce sur les terres natales creusoises de l’entreprise familiale depuis 190 ans. Ses blousons de légende virils sont conçus pour une vie, ils échappent aux tendances.
Aujourd’hui, CHAPAL offre une autre vision de ses collections portées par Gabriel. Il est l’aviateur des temps modernes. Choix subtil de la place de la Concorde, à deux pas du showroom parisien de la marque, pour ce shooting chargé d’histoire. Il réinterprète les blousons mythiques accessoirisés, sans déroger à ce qui fait l’unicité de la marque : des matières premières d’exception et un savoir-faire unique.
Gabriel nous montre combien l’homme, par sa sensibilité, peut se fondre dans cet univers et en faire sien. Il porte ces blousons virils avec finesse et légèreté.
La place de la Concorde devient son terrain d’aviation.
L’aviateur devient délicatesse romantique.
La robustesse devient douceur et confort.
La superposition des pièces donne à Gabriel une élégance intemporelle jouant sur l’ambiguïté des genres. Il sublime ces modèles originaux faits de matières nobles : cuir glacé ou velours, mouton retourné, laine Mérinos et gabardine Whipcord. Les accessoires sont audacieux et raffinés ajoutant une touche de délicatesse.
L’ambivalence des styles et des hommes permet d’afficher une mode décalée.
Gabriel prouve que le style est bien ce que chacun en fait.
La mode n’est qu’une question de personnalité, elle n’a pas de genre.
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